Paris Art Passion

IN AND OUT MY STUDIO LIFE

Imran Qureshi chez Thaddaeus Ropac-Paris marais.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
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Imran Qureshi

Idea of landscape

galerie Thaddaeus Ropac

12 septembre-17 octobre 2015

7 rue Debelleyme

75003 Paris

courtesy galerie Thaddaeus Ropac-Paris marais.
courtesy galerie Thaddaeus Ropac-Paris marais.

courtesy galerie Thaddaeus Ropac-Paris marais.

Imran Qureshi, artiste pakistanais né en 1972 et domicilié à Lahore est présenté actuellement par la galerie Thaddeus Ropac dans son espace du marais.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

Il y expose son style singulier qui transpose motifs, symboles et procédés décoratifs de la miniature moghole dans un langage contemporain.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
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©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

Cette exposition regroupe toiles, oeuvres sur papier et une vidéo qui toutes ensemble tissent un dialogue entre vie et mort!

Les feuillages et la nature représentent la vie tandis que le rouge renvoie à la mort. Ce rouge fait écho à la situation du Pakistan et dans le reste du monde où la violence se vit au quotidien. " pourtant les gens ne perdent pas espoir, explique Imran Qureshi. D'où les fleurs qui jaillissent de la peinture rouge pour exprimer l'espérance qui subsiste malgré tout".

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

Les ornements floraux esquissent les contours de l'idée de paysage et tapissent la toile en étirant leurs radicelles à la manière des plantes grimpantes rappelant en cela la porosité des frontières, des espaces et des corps.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

Ces oeuvres évoquent la vulnérabilité des corps en même temps que le tissu social qui forme l'armature de notre existence.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

Les titres éveillent des résonances sociales et culturelles par delà les métaphores...

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

And they still seek the traces of blood (et ils cherchent encore les traces de sang) est tiré d'un poème de Faiz Ahmed Faiz dont Imran entendait les chansons à la radio dans son enfance. Il nous parle des morts enterrés sans avoir reçu les honneurs funèbres et sans qu'aucune enquête n'ai élucidé les circonstances de leur décès.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.
©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

©ImranQURESHI-courtesy galerie thaddeus ropac.

Et pendant ce temps la galerie Thaddaeus Ropac prépare une superbe expo de grands formats dans son espace de Pantin avec des oeuvres de Anselm Kieffer, Robert Rauschenberg, et Robert Longo..

galerie Thaddeus Ropac Pantin.

À bientôt

chris

Quant à moi je retourne bosser.....et avant les pinceaux le marteau!

atelier chris claisse.

atelier chris claisse.

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