Paris Art Passion

IN AND OUT MY STUDIO LIFE

Wasteland-Mona Bismarck american center.

WASTELAND

12 mars-17 juillet 2016

Mona Bismarck American center

34 avenue de New York

75116 Paris

©cecilBeaton
©cecilBeaton

About Mrs Mona BisMarck:

La légendaire Mona Bismarck (née Strader 1897-1983) vécut une vie de luxe et de glamour, défiant toutes les conventions. elle décida de mettre sa fortune au service de l’art, de la mode et de la culture. A la suite de son mariage en 1926 avec Harrison Williams, réputé pour être l’un des hommes les plus riches des Etats-Unis, Mona devint rapidement connue comme l’une des femmes les plus chics et élégantes de New York. Elle fut élue « femme la plus élégante du monde » par les sommités de la mode.

La notoriété et la vaste fortune de Harrisson Williams leur permettent de mener un train de vie exceptionnel, partageant leur temps entre leurs résidences à New York, Long Island, Palm Beach, Paris et Capri. Quelques années après la mort d’Harrison Williams en 1953, Mona épousa son ami de toujours, le Comte von Bismarck, petit-fils du Chancelier Otto von Bismarck.

Le style unique de Mona fut célébré dans une chanson de Cole Porter, pendant que sa beauté physique et son élégance captivaient des peintres tels que Salvador Dalí, Léonor Fini, Bernard Boutet de Monvel ainsi que les photographes Cecil Beaton, Edward Steichen et H. P. Horst. Son cercle social comptait des présidents américains tels que les Président Roosevelt et Eisenhower, des personnalités telles que le Duc et la Duchesse de Windsor et la Princesse Grace de Monaco. Faisait également partie de son cercle social, un nombre impressionnant d’écrivains et d’artistes tels que Truman Capote, Erich Maria Remarque, Tennessee Williams, Greta Garbo et Paul Newman. Elle fût la muse des couturiers Cristòbal Balenciaga et Hubert de Givenchy, avec qui elle partagea une amitié intime tout au long de sa vie.

Mona Bismarck.

Le Mona Bismarck American Center constitue une vitrine privilégiée de l’art et la culture américaine des 20ème et 21ème siècles à Paris, sans équivalent en France. Il honore l’engagement de sa fondatrice d’origine américaine, Mona Bismarck, en favorisant les échanges interculturels transatlantiques par le biais de l’art. Installé dans un magnifique hôtel particulier du 19ème siècle en bordure de Seine, le Mona Bismarck American Center s’attache à diffuser en Europe les débats qui animent la culture contemporaine aux Etats-Unis, en proposant un programme pluridisciplinaire d’expositions, de performances, d’interventions d’artistes, de colloques et de résidences.

Le Mona Bismarck American Center est le seul lieu à but non lucratif de Paris entièrement dédié à la présentation de la création et de la culture américaine – renforçant ainsi le lien franco-américain existant de longue date et rehaussant la présence internationale des États-Unis.

Le Paris de Joséphine Baker, d’Ernest Hemingway et de Gertrude Stein a été marqué de façon indélébile par la créativité américaine ; les salons et la philanthropie de Florence Gould ont transformé les arts à Paris à la suite de la Seconde Guerre Mondiale ; alors que les grands artistes afro-américains comme Dexter Gordon, Richard Wright et James Baldwin, y trouvaient refuge au milieu du XXe siècle.

De nos jours, le Mona Bismarck American Center entretient ce riche héritage des Américains à Paris, un centre mondial de premier plan pour l’art et la culture. Raina Lampkins-Fielder, directrice artistique, déclare ainsi que « Paris est toujours cette ville où l’on peut rêver ».

Mona Bismarck-American center
Mona Bismarck-American center
Mona Bismarck-American center
Mona Bismarck-American center
Mona Bismarck-American center

Mona Bismarck-American center

Wasteland:

L’exposition collective Wasteland : New Art from Los Angeles se déploie simultanément dans deux espaces, le Mona Bismarck American Center à Paris et la Galerie Thaddaeus Ropac à Pantin, du 12 mars au 17 juillet 2016. La commissaire Shamim M. Momin, présidente et directrice artistique de LAND (Los Angeles Nomadic Division) a rassemblé des œuvres des artistes comptant parmi les meilleurs de la scène artistique de Los Angeles aujourd’hui : Edgar Arceneaux, Lisa Anne Auerbach, Math Bass, Mark Bradford, Sam Falls, Daniel Joseph Martinez, Jon Pylypchuk, Fay Ray, Ry Rocklen, Amanda Ross-Ho, Analia Saban, Shannon Ebner/Erika Vogt et Brenna Youngblood. - See more at: http://www.monabismarck.org/programmation/wasteland?lang=fr#sthash.2Rm1qyYT.dpuf

Wasteland-Mona Bismarck american center.
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Wasteland-Mona Bismarck american center.
Wasteland-Mona Bismarck american center.
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Wasteland-Mona Bismarck american center.

À l’occasion de cette exposition sans précédent entre LAND, le Mona Bismarck American Center et la Galerie Thaddaeus Ropac, de nouvelles œuvres commandées aux quatorze artistes seront montrées avec des pièces récentes. L’ensemble des œuvres répondent de part et d’autre à leur lieu d’installation, créant un dialogue inédit entre les œuvres elles-mêmes. C’est à l’initiative de LAND, dans le cadre de sa première exposition à l’international, que cette association plutôt originale en France entre une institution et une galerie a pu se produire, déclenchant ainsi un double regard sur le travail des artistes. Pour approfondir le dialogue entre deux villes d’art parmi les plus dynamiques au monde, LAND, le Mona Bismarck American Center et la Galerie Thaddaeus Ropac présenteront une programmation d’événements qui auront lieu à Paris et à Los Angeles au cours de l’exposition. - See more at: http://www.monabismarck.org/programmation/wasteland?lang=fr#sthash.2Rm1qyYT.dpuf

Wasteland-Mona Bismarck american center.
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C’est un poème fondateur de la modernité, The Waste Land (Terre vaine) de T.S. Eliot, qui fournit le fil conducteur thématique entre les quatorze artistes, tous profondément influencés par la ville de Los Angeles. L’exposition provoque des rencontres, aussi intenses que multidimensionnelles, entre la poétique du désespoir, la quête de liens authentiques, la précarité de la morale et l’incertitude de l’avenir pourtant inéluctable. Eliot a publié son poème en 1922, dans une période qui présente des similitudes troublantes avec notre époque actuelle, une période de désenchantement politique (les lendemains de la Première Guerre mondiale), culturel (l’urbanisme moderne) et individuel (la difficulté à communiquer et la perte de la foi). - See more at: http://www.monabismarck.org/programmation/wasteland?lang=fr#sthash.2Rm1qyYT.dpuf

Wasteland-Mona Bismarck american center.
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Wasteland-Mona Bismarck american center.

Par-delà la référence littéraire, le titre Wasteland éveille d’autres résonances, depuis la vieille (mais tenace) antienne sur le « désert culturel » de Los Angeles jusqu’à la réalité géographique des terrains vagues qui caractérisent à la fois la ville et les paysages naturels de la Californie du Sud. - See more at: http://www.monabismarck.org/programmation/wasteland?lang=fr#sthash.2Rm1qyYT.dpuf

Wasteland-Mona Bismarck american center.
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Wasteland-Mona Bismarck american center.
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Wasteland-Mona Bismarck american center.

Wasteland-Mona Bismarck american center.

Un delicieux moment dans ce superbe hôtel particulier. J'ai juste regretté d'avoir déjeuné auparavant car j'aurais aimé profiter de la voisine: la cantine russe.

la cantine russe
la cantine russe
la cantine russe

la cantine russe

Wasteland-Mona Bismarck american center.

chris.

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C
décidément on ne verra rien de toi ; que cette silhouette , face cachée ; ha! ces artistes dans " l' ombre"<br /> @+
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P
Hum encore un moment delicieux de partage , j ai apprécié la mixité des couleurs yu match also very well with ! Thank's a lot<br /> Mona
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L
Magnifique visite. Merci.
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C
Merci à toi et Bonjour au soleil de la Grèce!
F
Passionnant dans sa totalité ce billet. Un lieu que l'on a envie de découvrir.<br /> <br /> P.S: Tu es so chic Chris
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C
Merci! je ne connaissais pas ce lieu en fait et je suis certain que j'y retournerai mais cette fois je programmerai le déjeuner à la cantine russe!